« On aurait pu se croire en plein été. Les femmes portaient des robes et des chapeaux clairs. Les terrasses regorgeaient de consommateurs et on respirait en passant des bouffées d’apéritifs. Le tram pénétrait dans des faubourgs où des gens étaient assis sur les seuils. »
Georges SIMENON, Le Bilan Malétras ©Georges Simenon LTD/Gallimard, 1948, p. 16.
Lecture Didier Lecourtois ; prise de son Dan Hérouard © Denoël