Un nommé Durand
« Nous sommes le lundi 1er août 1910, 51, quai de Saône, au Havre, il est presque 19 heures, 7 heures du soir, comme on disait alors. C’était, à l’époque, le cœur du port : des quais aussi grouillants que le carreau d’une mine où, dans le vent, le tumulte et la cohue des charrois, les débardeurs vendaient leur travail à la criée. »
Alain SCOFF, Un nommé Durand © JC LATTÈS, 1984, p. 13.